Dialogue sur le bonheur

par Matiah Eckhard

 

 

 

 

 

La nuit bien trop fraîche leur rappelait le terrible évènement. Le monde entier aspirait à la mémoire et à l’affrontement avec le vide. Leur mère était morte mais ils étaient frères, ils l’étaient plus que jamais. Ils passèrent la nuit dans la maison familiale, cette maison où ils ont appris à vivre et à embrasser le métier d’homme dans l’innocence de l’habitude. Cette nuit d’insomnie et de tourments était aussi l’occasion d’échanges qui permirent la mise en œuvre d’un dépassement. Il n’est pas question d’un dépassement banal, fondé sur une simple et hâtive question de relativité, mais de tout autre chose. Lire tout le texte